Après un parcours associant ingénierie, conseils et international, Lucie intègre l'Ifremer en tant que coordonnatrice des observatoires océanographiques. Un métier qui lui permet de mettre en relation, aux 4 coins du monde, des passionnés de l'océan. Au quotidien, elle développe des projets scientifiques (capteurs, données, intelligence artificielle), met en place des accords de coopération entre états, accompagne des initiatives de sciences participatives...

Au cours de sa formation d'ingénieur à l'ENSTA Bretagne, Yoann a découvert l'intelligence artificielle et la robotique : des domaines qui ont éveillé son intérêt et qui lui ont donné envie de poursuivre en doctorat après l'obtention de son diplôme d'ingénieur.
Aujourd'hui, il évolue au sein d'une grande banque pour déployer des méthodes qui s'appuient sur l'intelligence artificielle et proposer aux équipes des outils qui facilitent leur travail au quotidien.

A l'interface entre les clients de son entreprise et les équipes techniques en interne, Mathieu s'appuie sur son expertise des systèmes embarqués pour analyser les besoins clients, proposer des offres adaptées et accompagner les équipes interne dans la mise en œuvre des solutions proposées.

Mieux comprendre les déplacements et comportements des cétacés grâce à leurs vocalises : c’est l’enjeu de la thèse de Mathilde qui s’appuie sur l’acoustique passive, une technique non intrusive.

L’océan représente 70.8% de la planète : un vaste espace encore mal connu.
L’enjeu de la thèse de Perrine est de s’appuyer sur différents types d’observation acquises sur l’océan (images satellites, bouées, bateaux…), de les combiner et les valoriser grâce à l’intelligence artificielle pour mieux comprendre les phénomènes physiques en place.