Que retiens-tu de cette campagne ?
Je pense que ce que j’ai préféré pendant ces trois semaines, c’est tous les échanges que l’on a pu avoir avec les étudiants de l’école et les membres de l’équipe. C’était très enrichissant de pouvoir échanger avec autant de personnes aux profils différents.
Qu’est-ce qui vous a différencié des autres listes pendant les campagnes ?
Nous étions une liste avec un petit budget, nous avons donc fait des choix. Au début, nous n’avons pas très bien débuté les campagnes, mais nous nous sommes améliorés au fur et à mesure.
On a su écouter les critiques constructives des étudiants et ça nous aidé à progresser.
Un autre aspect qui a joué en notre faveur est le fait que notre équipe est constituée d’étudiants aux profils variés. On a donc su créer des liens avec un maximum d’étudiants.
Sur quoi avez-vous mis l’accent pendant votre campagne ?
Il y a deux projets qui nous tiennent particulièrement à cœur :
- la réduction de l’emprunte carbone du BDE et, plus largement des étudiants : nous avons, par exemple, imaginé le poste de « Respo Guidon » pour démocratiser les déplacements à vélo.
- la création d’une cellule d’écoute et de redirection vers des professionnels pour les personnes en situation d’addictions.
Quels sont les autres projets envisagés ?
Nous sommes en train de mettre en place des partenariats sportifs, culturels et festifs (avec des librairies, marchand de cycles, magasin de surf, bar, restaurants…).L’enjeu est de proposer des activités variées, gratuites ou à faible coût, et ainsi de lutter contre la précarité étudiante.