
Après une première heure de présentation par les intervenants et d’échanges avec les étudiants sur le métier de journaliste, son rôle, ses droits et devoirs, ses sources … les élèves-ingénieurs ont été placés en situation de crise.
Exemple de mise en situation
Vous êtes en poste depuis 3 mois lorsqu’une affaire de harcèlement au travail dans votre entreprise fait le buzz. Les journalistes vous interrogent. Comment répondre, face caméra, au journaliste en évitant les faux pas ?
Ces mises en situation permettent aux étudiants d’identifier leurs signes de nervosité, de trac. Ils se confrontent ainsi à l’image qu’ils renvoient.
Cela les aide également à prendre conscience que leur prise de parole en tant que salarié impacte leur entreprise : ils répondent en leur nom mais également en tant que représentant de la structure dans laquelle ils évoluent.
L’importance du « savoir dire », de la dialectique, de la qualité du message transmis (clair, précis), du ton employé, de la capacité à gérer ses émotions comptent.
Ces ateliers auront permis de sensibiliser les futurs ingénieurs à la communication de crise et d’acquérir quelques réflexes utiles.
Merci à Gwendal Hameury, journaliste au Télégramme et Ludovic Pilloud, Capitaine à la gendarmerie de Châteaulin qui animaient ces séances.